Vladimir Horowitz : De la musique avant toutes choses ...

Publié le par Mr Twils

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 Vers la Flamme : Poème pour Piano Op. 72 d'Alexander Scriabine

 

 Vladimir Horowitz : Puissance, légèreté et couleurs ... Dans Mozart, il ne m'impressionne pas. Dans Bach, il est limpide. Dans Chopin, Scriabine et surtout Rachmaninov, il est unique. Horowitz est un monstre est sacré ... Un immense tremblement de terre dans le monde de la musique !!

 

La Bio de Wikipédia :

Vladimir Horowitz  fut un pianiste virtuose russe de renommée mondiale, né à Kiev le 1er octobre 1903 (certaines sources citent Berditchev) et mort le 5 novembre 1989 à New York.



D'origine juive, provenant d'un milieu bourgeois de la société ukrénienne cultivée, c'est dès l'âge de cinq ans qu'en compagnie de sa mère, Vladimir Horowitz apprit le piano. A douze ans, il entrait au Conservatoire de Kiev. Il y reçut un enseignement musical qui fit de lui un pianiste accompli, bien qu'alors il préférait composer plutôt que de jouer la musique des autres. Il étudia ensuite avec Sergei Tarnowski, puis avec Felix Blumenfeld. Une rencontre musicale alors qu'il avait quinze marqua sans doute la formidable destinée du jeune Horowitz : le célèbre compositeur russe Alexandre Scriabine, après l'avoir entendu au piano, l'encouragea dans la voie de la carrière musicale.

C'est à seulement dix-sept ans que Vladimir Horowitz donna son premier concert public, à Kiev, sa ville natale. Sa renommée musicale fut déjà assurée en Russie grâce à son interprétation de vingt-trois récitals à Leningrad en 1924. L'année suivante, il fit une tournée très appréciée en Europe. Il est déjà très remarqué pour son jeu précis et sa grande virtuosité, si bien qu'un concert à Berlin en 1926, lui vaut le surnom d'« ouragan des steppes ».

Dès lors, Vladimir Horowitz enchaîne les représentations : en 1928 il se produit à Londres puis à New York au Carnegie Hall, en jouantle premier concerto pour piano de Tchaïkovski avec l’Orchestre Philharmonique de New York. Il commenca la même année des premiers enrgegistrements. Horowitz fit alors la connaissance de Sergueï Rachmaninov ; les deux pianistes devinrent rapidement très ami.

Aimant l'ambiance de la capitale française, il s'installe temporairement à Paris. En 1933, il joua pour la première fois en soliste, avec le grand chef d'orchestre italien Arturo Toscanini, le concerto n°5 (dit « L’Empereur ») de Beethoven avec l’Orchestre Philharmonique de New York. La même année, en décembre, il épouse Wanda Toscanini (la fille du chef d'orchestre), rencontrée lors d'une des répétitions de ce concert. C'est en 1939 qu'il quitte la France pour s'installer définitivement aux États-Unis, à New York.

Le public d'Horowitza a pu regretter certaines périodes d'abscence totale de la scène : avant son départ aux Etats-Unis (entre 1936 et 1938) puis entre 1968 et 1974 et de 1983 à 1985. Néanmoins, l'ouragan des steppes déplacait des foules pour chacun de ses concerts où les places étaient chères et réservées très longtemps à l'avance.

A la fin de sa vie, Horowitz développa un amour de la musique de Mozart et réalisa des enregistrements d'un de ses concertos en 1988. C'est au printemps 1987 que fut donnée sa dernière représentation publique, en Allemagne.

Vladimir Horowitz mourut chez lui, à New York, le 5 novembre 1989, d’une crise cardiaque. Il est inhumé dans le tombeau de famille de Toscanini, à Milan.

Pianiste désormais mythique, Vladimir Horowitz fut admiré pour la puissance de son jeu pianistique et ses mutliples prouesses techniques. Il gagna la réputation du meilleur virtuose pour ses interprétations de Liszt, Chopin, Rachmaninov et Tchaïkovski.

 Chorale en Do minor de J-S Bach : Transcription par Busoni

Publié dans Musique

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